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« Carte blanche » du Monde : Les réseaux sociaux contre les classes sociales ? Pour en savoir un peu plus…

par Pierre Mercklé le 10 novembre 2011 · 10 commentaires

dans Cartes blanches,Réseaux,Stratification sociale

Vous parcourez peut-être ces lignes parce que vous venez de lire le billet publié dans Le Monde, à la une du cahier « Sciences & Technos » du samedi 12 novembre 2011, et que vous avez voulu en savoir un peu plus ? Alors bienvenue !

Comme je l’ai indiqué hier, le quotidien voulait offrir une « carte blanche » aux sciences sociales dans son cahier « Science & Techno » du week-end, et je suis très heureux de pouvoir essayer d’y montrer environ toutes les six semaines que ces « sciences sociales » sont aussi des sciences, autant (sinon de la même façon) que l’astrophysique, la médecine ou les mathématiques.

Le format de cette « carte blanche » est bien sûr très contraint : la contrepartie de sa bonne exposition à la une du cahier, c’est qu’elle ne doit pas dépasser 3.500 signes, espaces compris ! Cela oblige à la concision, et parfois à l’ellipse, au détriment de la précision et de la nuance. Et cela empêche aussi de créditer et de citer de façon suffisamment détaillée les recherches et les publications des collègues sur lesquelles je m’appuie pour construire mon propos. Les sciences sociales, comme les autres sciences, ne sont pas le produit d’un exercice solitaire et en apesanteur de la pensée : elles sont menées selon des protocoles méthodologiques rigoureux par des collectifs parfois importants de chercheurs, puis présentées et discutées dans des colloques et publiées dans des revues et des ouvrages scientifiques…

Aussi, tant que durera cette tribune (mais je sais que dans la presse, rien n’est éternel), je vous propose de retrouver ici, sur ce blog, au moment de la parution de chacune de ces « cartes blanches », un billet plus long dans lequel j’essaierai de développer mon propos, d’apporter un certain nombre de compléments, de pistes supplémentaires de réflexion… et surtout des suggestions de lectures : ce sera une façon de rendre à mes collègues ce que je leur aurai emprunté pour écrire ces « cartes blanches », sans pouvoir toujours les y citer correctement.

Pour cette première « carte blanche », j’ai choisi d’aborder la question des relations entre les approches en termes de réseaux et en termes de classes dans les sciences sociales, parce qu’elle m’est un peu moins étrangère que d’autres : j’ai essayé de l’aborder en plusieurs endroits de mon livre consacré à la Sociologie des réseaux sociaux, récemment réédité (La Découverte, coll. « Repères », 2011), et que vous pouvez lire avec profit si vous découvrez l’existence de l’analyse des réseaux et si vous voulez en savoir un peu plus.

S’agissant spécifiquement des relations entre réseaux sociaux et classes sociales, je leur ai récemment consacré ici plusieurs billets : le premier était intitulé « Réseaux sociaux contre classes sociales : faut-il former les professeurs de SES au nouveau programme de Première ? » (janvier 2011), et j’y discutais la façon dont les « réseaux sociaux » venaient d’être introduits dans les nouveaux programmes de sciences économiques et sociales au lycée ; le suivant, intitulé « Qui a fait disparaître les classes sociales ? » (octobre 2011), était un compte rendu détaillée d’une journée d’études organisée à l’ENS Ulm, et consacrée notamment à une discussion de la responsabilité de l’analyse des réseaux sociaux dans le déclin du recours par les sociologues à la notion de classes sociales ; et le dernier, tout récent, et intitulé « Comment enseigner les réseaux sociaux au lycée ? Par l’enquête ! » (octobre 2011), indiquait comment il était possible d’explorer empiriquement les relations entre réseaux sociaux et classes sociales.

Ce que je n’ai malheureusement pas pu restituer de façon extensive dans l’article du Monde, ce sont justement ces travaux que j’évoque dans le dernier paragraphe, et qui depuis une vingtaine d’années s’efforcent d’explorer empiriquement les articulations possibles entre réseaux sociaux et classes sociales. Ce qui suit vise donc à réparer ce manque…

Tout d’abord, un petit mot supplémentaire sur la seule enquête que j’ai eu la place de citer : menée pendant plus de dix ans à Caen et à Toulouse, auprès de plusieurs centaines de jeunes suivis pendant de longues années, de l’adolescence à l’âge adulte. L’enquête, remarquable, a consisté en particulier à reconstituer et à explorer patiemment les réseaux de sociabilité et leurs transformations avec l’avancée en âge. Au total, ce sont ainsi plusieurs centaines de réseaux personnels et plusieurs milliers de relations qui ont ainsi été analysées. Les résultats sont racontés dans un livre passionnant, écrit par Claire Bidart, Alain Degenne et Michel Grossetti, et donc le chapitre 11 est justement intitulé « Des réseaux inégaux ». C’est à paraître dans quelques jours :

BIDART Claire, DEGENNE Alain et GROSSETTI Michel (2011), La vie en réseaux. Dynamique des relations sociales, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Le lien social », 368 pages, ISBN 978-2-13-059064-4 [présentation]


Le déclin des classes sociales et des catégories socioprofessionnelles

Sur la question des classes sociales, il faut rappeler le texte maintenant ancien, et classique, de Louis Chauvel :

CHAUVEL Louis (2001), « Le retour des classes sociales ? », Revue de l’OFCE, n° 79, octobre, pp. 315-359 [Texte intégral au format PDF]

Et sur la question plus spécifique du recul du recours à la nomenclature des catégories socioprofessionnelles dans la statistique publique française, il y a ce remarquable article, paru récemment, et qu’il faut absolument lire :

PIERRU Emmanuel et SPIRE Alexis (2010), « Le crépuscule des catégories socioprofessionnelles », Revue française de science politique, vol. LVII, n° 3, juin [résumé et table des matières sur Cairn]

Articuler classes sociales et réseaux sociaux

Comme je ne voulais pas oublier de signaler des lectures importantes sur ce sujet, j’ai fait en quelque sorte du « crowdsourcing » pour la suite de ce billet bibliographique : j’ai demandé à mes collègues rassemblées sur la liste de discussion « Réseaux sociaux » quels étaient selon eux les travaux empiriques importants qui articulent ces deux façons de penser et représenter le monde social. Merci à toutes celles et tous ceux qui m’ont répondu… Et merci à Alexis Ferrand qui, s’il ne m’a livré aucune référence, m’a cependant écrit un long courrier qui structurait de façon limpide les différentes façons possibles de penser cette articulation entre réseaux sociaux et classes sociales, ce qui suit lui doit donc beaucoup aussi !

Les différentes classes sociales entretiennent des réseaux sociaux différents

On peut rassembler dans ce registre les travaux qui montrent que les membres des différentes catégories socioprofessionnelles entretiennent des réseaux ayant, en moyenne, des tailles, des compositions, et des utilités différentes, et qui permettent donc de dire que les classes sociales développent des systèmes relationnels distincts. La meilleure démonstration d’ensemble de cela s’appuie sur les résultats de l’enquête « Contacts » réalisée en 1983 par l’INSEE :

HERAN François (1988), « La sociabilité, une pratique culturelle », Economie et statistique, n° 216, décembre [texte intégral]

Parmi les travaux plus récents, on peut dans un registre proche, mais portant plus spécifiquement sur telle ou telle classe sociale, évoquer par exemple les travaux explorant les particularités des sociabilités populaires, comme celui-ci :

GRANJON Fabien, BLANCO Catherine, LE SAULNIER Guillaume et MERCIER Grégory (2007), « Sociabilités et familles populaires. Une socioethnographie de la mise en contact », Réseaux, n° 145-146, pp. 117-157 [résumé et table des matières sur Cairn]

D’autres travaux, auxquels Fabien Granjon a participé, analysent, encore plus spécifiquement, les relations entre inégalités numériques, inégalités sociales et stratification sociales :

GRANJON Fabien et LELONG Benoît (2006), « Capital social, stratifications et technologies de l’information et de la communication. Une revue des travaux français et anglo-saxons », Réseaux, n° 139, pp. 147-181 [texte intégral au format PDF]

GRANJON Fabien, LELONG Benoît Lelong et METZGER Jean-Luc (2009), Inégalités numériques : clivages sociaux et modes d’appropriation des TIC, Hermès Sciences Publication, coll. « Technique et Scientifique des Télécommunications », 254 p.

A l’autre extrémité de la hiérarchie sociale ou presque, cette fois dans les classes favorisées, cela marche aussi bien, sinon encore mieux, puisque le capital social y est beaucoup plus important. Emmanuel Lazega montre ainsi dans The Collegial Phenomenon comment les différences de classes sont un des principaux ressorts de la concurrence de statut entre les différents associés d’un cabinet d’avocats nord-américain, et ont des conséquences importantes et mesurables sur leurs choix relationnels.

LAZEGA Emmanuel (2001), The Collegial Phenomenon. The Social Mechanisms of Cooperation among Peers in a Corporate Law Partnership, Oxford University Press [présentation]

Un peu plus haut encore dans les classes favorisées, et cette fois de ce côté-ci de l’Atlantique, l’étude de Catherine Comet et Jean Finez utilise les « interlocking directorships » pour décortiquer les relations entre les dirigeants des 100 premières sociétés françaises cotées en bourses. Cette approche, classique en analyse des réseaux, consiste à analyser les structures relationnelles à partir des liens de coappartenance dans les organes de gouvernance (deux dirigeants siégeant dans un même conseil d’administration sont considérés comme ayant un lien). Ici, elle montre qu’au moins dans la classe dirigeante, la solidarité de classe a encore un sens, et que l’origine sociale et les ressources relationnelles qui l’accompagnent pèsent beaucoup plus lourd que les diplômes dans la détermination des carrières.

COMET Catherine, FINEZ Jean (2010), « Le cœur de l’élite patronale », Sociologies pratiques, 21, pp. 49-66 [résumé et table des matières sur Cairn]

Liens

Des mêmes auteurs, on pourra lire aussi bientôt, sur ce même terrain :

FINEZ Jean et COMET Catherine (2011), « Il y a aussi cet article qui peut éventuellement être intéressant, mais sans doute moins que l’autre au regard de la thématique : 2011. Finez Jean, Comet Catherine, « Solidarités patronales et formation des interlocks entre les principaux administrateurs du CAC40 », Terrains & Travaux, n° 19.

Et pour finir sur ce registre, cette fois de part et d’autre de la Manche mais sans changer de milieu social, il faut mentionner cet ouvrage qui, s’il ne met pas spécifiquement en œuvre les méthodes de l’analyse des réseaux comme dans l’article précédent, n’en explore pas moins méticuleusement toutes les dimensions de l’entre-soi des élites managériales, dans une perspective que les auteurs eux-mêmes définissent comme inspirée des travaux de Pierre Bourdieu :

McLEAN Mairi, HARVEY Charles et PRESS Jon (2006), Business Elites and Corporate Governance in France and the UK, Palgrave Macmillan, 357 pages [présentation sur le blog de Pierre Bilger]

Pour se faire une idée des fortes variations des structures relationnelles d’une classe sociale à l’autre, on peut bien sûr mettre bout à bout ces différentes monographies. Mais on dispose aussi d’études plus générales : celle-ci, récente et disponible en ligne, s’appuie sur les données du General Social Survey américain de 2006 pour démontrer l’importance de ce qu’on pourrait appeler la « ségrégation structurale », autrement dit la façon dont les réseaux de sociabilité des Américains sont clivés et cloisonnés en fonction notamment des appartenances sociales (mais aussi des appartenances ethniques, des confessions religieuses, etc.) :

DiPRETE Thomas A., GELMAN Andrew, McCORMICK Tyler, TEITLER Julien, ZHENG Tian (2010) Segregation in Social Networks based on Acquaintanceship and Trust, Columbia University [texte intégral au format PDF]

Des réseaux sociaux différents engendrent des classes sociales distinctes

Mais on peut tout aussi légitimement poser le problème dans l’autre sens : ce ne sont pas seulement les appartenances sociales qui façonnent les structures relationnelles, en retour celles-ci peuvent aussi déterminer les appartenances sociales. Historiquement, aussi bien chez Quesnay que chez Marx, le concept de « classe sociale » prend son sens dans un système général de rapports économiques et sociaux, de telle sorte que c’est fondamentalement un concept relationnel. Les bourgeois n’existent en tant que catégorie social que par les rapports sociaux qu’ils entretiennent avec les prolétaires, et réciproquement ; et en tant que « groupe social », ils n’existent que par les rapports qu’ils entretiennent entre eux, au sein de chaque « classe ». Les analyses de réseaux peuvent permettre de saisir empiriquement ces relations et donc d’identifier des classes sociales. Dans ce registre, on peut mentionner les travaux qui analysent donc les façons dont les réseaux sociaux façonnent à leur tour les appartenances sociales…

Le texte fondateur, de ce point de vue, a bientôt 60 ans ! Parti à la recherche des principes de la stratification sociale dans la petite île de Norvège qui constituait sont terrain de thèse, l’anthropologue britannique John A. Barnes a justement dû inventer la notion de « social network » pour essayer d’expliquer pourquoi les habitants de l’île, pris dans des relations serrées d’interconnaissance, se considéraient presque tous comme appartenant à une vaste et unique classe moyenne. Cet article formidable n’est malheureusement pas disponible en ligne, et il n’est toujours par traduit en français, il faudrait que quelqu’un s’y colle !

BARNES John A. (1954) « Class and Committees in a norwegian Island Parish », Human Relations, 7, pp. 39-58

Si la vision de Barnes pouvait effectivement conduire à des approches tendant à euphémiser les rapports de classes, les développements méthodologiques qui en ont résulté ont pu aussi être mobilisés pour montrer comment les structures relationnelles contribuent à façonner ou perpétuer les inégalités et les hiérarchies sociales. Des chercheurs en ont même tiré il y a une trentaine d’années une méthode originale de construction des catégories sociales, appelée CAMSIS (Cambridge Social Interaction and Stratification Scale). Cette méthode repose justement sur l’idée que la sélectivité des échanges interpersonnels engendre des structures sociales. Les catégories sociales, dans cette méthode, sont alors constituées en observant les tables d’homogamie (croisant les professions des conjoints) et les tables d’homophilie (croisant les professions des amis), et en agrégeant les professions qui présentent les proximités les plus fortes selon ces deux points de vue. Pour explorer les recherches qui s’efforcent de mobiliser et d’appliquer cette échelle structurale de stratification sociale, vous pouvez consulter cette bibliographie disponible en ligne en anglais. Dans l’abondante littérature ainsi engendrée, on peut relever notamment deux textes offrant un bon panorama des enjeux à la fois théoriques, méthodologiques et empiriques de cette démarche (mais malheureusement, aucun des deux n’est intégralement disponible en ligne) :

BERGMAN M. M., LAMBERT P. S., PRANDY K. et JOYE D. (2002), “Theorisation, construction and validation of a social stratification scale: Cambridge Social Interaction and Stratification Scale (CAMSIS) for Switzerland”, Swiss Journal of Sociology, 28, pp. 441-460

BOTTERO W., LAMBERT P.S., PRANDY K. et McTAGGART S. (2009), “Occupational Structures: The Stratification Space of Social Interaction”, in ROBSON K. ert SANDERS C. (ed.), Quantifying Theory: Pierre Bourdieu, Amsterdam, Springer Netherlands pp. 141-150 [extraits dans Google Books]

Il y a bien sûr, dans ce registre qui considère les effets des relations sur les appartenances sociales, des approches plus classiques. Par exemple, dans l’article ci-dessous, Muriel Epstein montre comment le « capital social » des jeunes habitant en cité (autrement dit les ressources auxquelles leurs relations leur permettent d’accéder), qui est socialement fonctionnel dans leur quartier d’habitation, parce qu’il leur permet de s’y intégrer, peut devenir au contraire un « handicap » en matière d’insertion scolaire et professionnelle : ce n’est pas ici la « quantité » des ressources, mais leur structure et leurs caractéristiques qui perpétuent les ségrégations sociales.

EPSTEIN Muriel (2008), « Un capital social handicapant : les antagonismes d’une socialisation en cité et d’une insertion professionnelle et scolaire », Sociétés et jeunesses en difficulté, n° 5, printemps [texte intégral]

Mais dans d’autre cas, le capital social peut être un des mécanismes fondamentaux de la transmission des positions sociales d’une génération à l’autre, comme dans le cas des médecins et des enseignants anglais et américains étudiés par Fiona Devine. Et cela même si, dans certaines situations, l’institution scolaire peut également doter d’un capital social spécifique éventuellement susceptible de corriger les effets inégalitaires du capital scolaire parental, comme le montre Marc Lecoutre à partir d’une analyse des trajectoires d’étudiants en médiation culturelle :

DEVINE Fiona (2004), Class Practices. How Parents Help Their Children Get Good Jobs, Cambridge University Press, Cambridge [extraits dans Google Books]

LECOUTRE Marc (2006), « Le capital social dans les transitions écoles-entreprises », in BEVORT Antoine et LALLEMENT Michel (dir.) (2006), Le capital social. Performance, équité et réciprocité, Paris, La Découverte, coll. « Recherches », pp. 177-192

En réalité, il n’est pas toujours facile de classer les travaux et les enquêtes qui explorent les articulations entre réseaux et classes dans l’un ou l’autre des deux registres exclusivement : par exemple, La vie en réseau, le livre de Claire Bidart, Alain Degenne et Michel Grossetti, évoqué au début de ce billet, montre à la fois comment les appartenances sociales façonnent les relations ET comment celles-ci façonnent en retour les appartenances. On peut alors véritablement parler d’une théorie structurale des classes sociales, dont relèvent indéniablement les recherches menées depuis une vingtaine d’années par Nan Lin sur les inégalités de distribution et d’efficacité du capital social et ses formes différenciées de mobilisation suivant les positions dans la hiérarchie sociales. Nan Lin est certainement le sociologue le plus représentatif de ces efforts pour articuler à la fois empiriquement et théoriquement les approches en termes de classes et l’analyse des réseaux, et on peut accéder à ses travaux par un article paru en français dans la Revue française de sociologie, avant de s’attaquer à Social Capital, son livre de 2001, qui a été réédité en 2008 :

LIN Nan (1995), « Les ressources sociales : une théorie du capital social », Revue française de sociologie, XXXVI-4, octobre-décembre, pp. 685-704 [texte intégral au format PDF]

LIN Nan (2001), Social Capital. A Theory of Social Structure and Action, Cambridge, Cambridge University Press, coll. « Structural Analysis in the Social Sciences », 278 p. [présentation de la réédition de 2008]

Voilà, j’arrête ici ce petit tour d’horizon de quelques travaux plus ou moins récents sur les relations entre réseaux sociaux et classes sociales, qui m’a déjà emporté beaucoup plus loin que je ne l’imaginais, grâce à l’aide des collègues qui m’ont signalé plusieurs de ces références. Ce n’est évidemment pas exhaustif, mais nous pouvons continuer la mutualisation : n’hésitez pas à utiliser les commentaires de ce billet pour ajouter des références qui vous semblent pouvoir également venir nourrir cette réflexion !

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